Dans un récent dossier de Juin 2013, 01Business s’est penché sur le neuromarketing.
Première façon de déformer les réponses : la “ rationalisation ”. Lorsqu’il répond à un questionnaire, le sondé va généralement faire en sorte que ses réponses aient du sens, quitte à tordre la réalité de ses sentiments […] Les conséquences peuvent être désastreuses pour la marque qui a commandé l’enquête. Ainsi, le scooter à toit de BMW baptisé C1 avait été jugé très positivement par un panel de clients. Il n’en a pas moins été un flop commercial…
Pour limiter ce genre d’écueil, les études ne doivent plus être “ polluées ” par les processus conscients de chaque testeur ou par leurs états d’âme, mais se concentrer sur leurs émotions de base.
Un article très accessible qui passe en revue l’historique et l’approche du neuromarketing, les marques qui en ont recours, les méthodes d’analyses (IRM, électroencéphalogramme, le facial coding et l’eye-tracking), etc.
Source : « Les nouvelles prouesses du neuromarketing » sur 01Business